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Mais pour le reste, oui

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Photo : Lili Hirart

Théâtre conté

Tout public dès 8 ans

Durée 55'

 

Interprétation : Mélancolie Motte

Adaptation et dramaturgie : Mélancolie Motte et Pierre Delye

Mise en Scène : Alberto Garcia Sanchez

Direction d’actrice : Julie Nayer

Création Sonore : Julien Vernay

Création lumières : Jocelyn Asciak

Diffusion : Isabelle Authom

Une Production de l’Asbl Le Non Dit

Avec le soutien de : Fédération Wallonie Bruxelles, Service Arts de la Scène - section Conte, La Roseraie, La Montagne Magique, La Maison des Cultures et de la cohésion sociale de Molenbeek, Le Centre Scénique Jeunes publics de Bruxelles Pierre de Lune, La Maison du Conte de Chevilly-Larue etl'Ensemble MaterialTheater de Stuttgart

Il est le fils qui doit payer pour son père. Elle est la fille qui ne veut plus payer pour le sien.

Tous deux sont, sans le savoir, en pleine quête identitaire et amoureuse.

 

Il est issu de la pauvreté. Elle est née dans une cage dorée. Leurs chemins se croisent. Ensemble, ils découvrent l’inimaginable. A présent que leurs yeux se sont ouverts, ils ne veulent plus les refermer. A présent qu’ils ne peuvent plus faire semblant, les vraies épreuves vont commencer ...

Filles-oiseaux, métamorphoses, malédiction, animaux qui parlent, … Cette histoire pleine de rebondissements, de poursuites et de combats fantastiques est inspirée d’un conte merveilleux volontairement ancré dans notre monde contemporain. Par la force de la parole et de l’imaginaire, ce spectacle nous parle d’affirmation rebelle, de relations familiales, de pouvoir, de loyauté, de liberté, mais aussi d’amour, d’entraide, de sensibilités, de sensualité … avec, en toile de fond presque « invisible », un sujet rarement abordé et pourtant brûlant d’actualité : celui de l’esclavage moderne dans nos contrées.

La Presse


Dans ce monde imaginaire où la douceur se heurte à la douleur, Nanukuluk entouré de l'amour de ses parents comme de celui sa maman
ourse a trouvé en Mélancolie Motte l'interprète idéale de ses sentiments (…). Dans une mise en scène d'Alberto Garcia Sanchez, prix Molière du
théâtre jeune public 2011, avec la mise en lumière de Jocelyn Asciak, ce conte inspiré du film " L'enfant qui voulait être un ours" a trouvé une
autre intensité. (…) L'histoire de Nanukuluk a transporté la salle dans un autre univers. De chaleureux applaudissements remerciaient
l'artiste pour son talent et sa modestie.
La Charente Libre


Aux rencontres de Huy, une forme singulière et audacieuse, « Nanukuluk, l'enfant sauvage » avec Mélancolie Motte à l'écriture et au jeu d'une
envoûtante création. Seule sur un plateau nu, elle raconte l'histoire d'un enfant eskimo volé par une maman ourse et qui sera, plus tard,
tiraillé entre le monde des hommes et celui de la nature. Avec une présence à faire fondre la banquise, Mélancolie Motte nous captive une
heure durant, ses mots, tout simples, abordant un thème universel : trouver la liberté d'être ce que l'on veut être.
Le Soir (Belgique)


Dans un style très épuré, Mélancolie Motte livre avec une grande maîtrise « Nanukuluk, l'enfant sauvage ». Seule en scène, et sans aucun
artifice mais avec une très belle physicalité, elle nous emmène au Grand Nord pour explorer à travers moult rebondissement le thème de
l'enfant sauvage, de l'enfant racine également – puisqu'enlevé par une ourse, il perd aussi ses parents -, de l'enfant désiré et de la quête
d'identité.
La Libre (Belgique)


Un plateau nu, mais nu de nu d'avant l'apparition de l'appellation « théâtre ». Et là, sans autre appoint qu'une parole, un corps et une
sensibilité, une conteuse-comédienne-actrice vous tient en haleine durant 50mn. L'histoire est conforme à la tradition du conte. Elle contient
des événements liés au merveilleux. Elle met en jeux des personnages parlant qui sont sur le même plan, qu'ils soient humains ou animaux. Elle
se structure en successions d'épisodes dans lesquels il faut franchir des obstacles, être victorieux des opposants et de ses propres peurs. Elle est
chemin d'une initiation à la vie.  Avec cette littérature immémoriale, réécrite avec élégance par Mélancolie Motte, voici en solo, un spectacle véritable dont elle est la voix, le
geste, la parole, le décor, les personnages. La matière, c'est elle qui module son discours, qui invente des attitudes non illustratives. Sa voix
prend les nuances et les tonalités que requièrent le sens des mots, la personnalité des protagonistes. Son corps a la souplesse pour devenir
fluidité, rudesse, douceur, agressivité, repli, élan. Sa générosité ne déborde pas, elle se transmet telle quelle à la salle.
Rue du Théâtre(Belgique)

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