top of page
Mélancolie mettant sa main dans l'empreinte d'un ours, peinte en blanc sur une vitre

Nanukuluk, l’Enfant Sauvage

 

Théâtre récit

Librement inspiré du film "L'enfant qui voulait être un ours", de Jannik Hastrup

 

Mise en Scène: Alberto Garcia (Metteur en scène de "Vy", Prix Molière Theatre Jeune Public 2011)
Création lumière: Jocelyn Asciak
Tout public à partir de 8 ans, 50 min.

 

Avec le soutien du festival Au Fil du Conte, Département de la Charente.

Version allégée pour petits lieux possible.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans le Grand Nord, à l’intérieur d’une maison d’hiver, un bébé pleure…il vient de naître et réclame un prénom. Au même moment, le cri d'une femelle ourse retentit sur la banquise.Les parents décident alors de le nommer Nanukuluk; Petit Ours ! Mais dehors, l'Ourse a repéré l'odeur du bébé. Elle attend l'enfant...

Mélancolie Motte raconte avec grâce et émotion la belle histoire sauvage d'un enfant déchiré entre le monde animal et le monde humain. Dans son rectangle blanc pour unique décor, avec une gestuelle fine et des chants épurés, elle nous emporte dans la quête initiatique de tout un chacun: trouver le chemin d'être ce que l'on est, et prendre la liberté de le suivre.



 

 

 

 

Intentions

Le récit initiatique de Nanukuluk parle des traditions du peuple inuit, du choc de la modernité, du regard des autres, de la différence. C'est un appel au respect de la nature … et des natures. L’histoire met en effet en évidence la psychologie de l’enfant sauvage et sa difficulté à trouver son identité entre deux « cultures » : celle de l’animal, celle de l’homme. Trouver le chemin d’être ce que l’on est, prendre la liberté de le suivre : un questionnement de tout un chacun ; que ce soit dans le choc culturel du déracinement d’un pays pour s’intégrer dans un autre, dans l’approche d’une classe sociale quand on est issu d’une autre, ou tout simplement dans la crise d’adolescence que tout le monde traverse un jour… Ce spectacle touche aussi les adultes, puisqu’il représente également un cheminement d’acceptation parentale vis-à-vis des projets qu’on formule et qu’on formate souvent pour sa progéniture…

Nombreuses thématiques possibles à aborder en classe: l’ours et la catastrophe écologique, le peuple inuit, le phénomène des jours nocturnes polaires, les enjeux économiques du pôle nord...

 

La Presse

 

Dans ce monde imaginaire où la douceur se heurte à la douleur, Nanukuluk entouré de l'amour de ses parents comme de celui sa maman

ourse a trouvé en Mélancolie Motte l'interprète idéale de ses sentiments (…). Dans une mise en scène d'Alberto Garcia Sanchez, prix Molière du

théâtre jeune public 2011, avec la mise en lumière de Jocelyn Asciak, ce conte inspiré du film " L'enfant qui voulait être un ours" a trouvé une

autre intensité. (…) L'histoire de Nanukuluk a transporté la salle dans un autre univers. De chaleureux applaudissements remerciaient

l'artiste pour son talent et sa modestie.

La Charente Libre

 

Aux rencontres de Huy, une forme singulière et audacieuse, « Nanukuluk, l'enfant sauvage » avec Mélancolie Motte à l'écriture et au jeu d'une

envoûtante création. Seule sur un plateau nu, elle raconte l'histoire d'un enfant eskimo volé par une maman ourse et qui sera, plus tard,

tiraillé entre le monde des hommes et celui de la nature. Avec une présence à faire fondre la banquise, Mélancolie Motte nous captive une

heure durant, ses mots, tout simples, abordant un thème universel : trouver la liberté d'être ce que l'on veut être.

Le Soir (Belgique)

 

Dans un style très épuré, Mélancolie Motte livre avec une grande maîtrise « Nanukuluk, l'enfant sauvage ». Seule en scène, et sans aucun

artifice mais avec une très belle physicalité, elle nous emmène au Grand Nord pour explorer à travers moult rebondissement le thème de

l'enfant sauvage, de l'enfant racine également – puisqu'enlevé par une ourse, il perd aussi ses parents -, de l'enfant désiré et de la quête

d'identité.

La Libre (Belgique)

 

Un plateau nu, mais nu de nu d'avant l'apparition de l'appellation « théâtre ». Et là, sans autre appoint qu'une parole, un corps et une

sensibilité, une conteuse-comédienne-actrice vous tient en haleine durant 50mn. L'histoire est conforme à la tradition du conte. Elle contient

des événements liés au merveilleux. Elle met en jeux des personnages parlant qui sont sur le même plan, qu'ils soient humains ou animaux. Elle

se structure en successions d'épisodes dans lesquels il faut franchir des obstacles, être victorieux des opposants et de ses propres peurs. Elle est

chemin d'une initiation à la vie.

Avec cette littérature immémoriale, réécrite avec élégance par Mélancolie Motte, voici en solo, un spectacle véritable dont elle est la voix, le

geste, la parole, le décor, les personnages. La matière, c'est elle qui module son discours, qui invente des attitudes non illustratives. Sa voix

prend les nuances et les tonalités que requièrent le sens des mots, la personnalité des protagonistes. Son corps a la souplesse pour devenir

fluidité, rudesse, douceur, agressivité, repli, élan. Sa générosité ne déborde pas, elle se transmet telle quelle à la salle.

Rue du Théâtre (Belgique)

bottom of page