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affiche du spectacle

"L'Enfant qui est né deux fois"

Théâtre conté dès 5 ans
(grande section/troisième maternelle en scolaire)

 

De et par Mélancolie Motte

Mise en scène Julie Nayer et Caroline Cornelis

Créateur sonore Antonin De Bemels

Créateur lumières Jocelyn Asciak

Regard scénographique Heidi Folliet

Conception décors Idiot Productions

Librement inspiré du livre éponyme de Gérard Moncomble

 

 

Une production de l'Asbl Le Non Dit, en collaboration artistique avec Cimarra et la compagnie de danse Nyash

Une coproduction de la Maison du Conte de Chevilly-Larue (France) et de Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles.

Avec le soutien de la Fédération Wallonie Bruxelles, de Wallonie Bruxelles International, du Théâtre La Montagne Magique, du Centre culturel de Nivelles, de La Maison des Cultures de Molenbeek, du Théâtre La Roseraie.

 Une petite âme s’envole ... Elle se doit d’entreprendre un grand voyage. Sur le dos d’animaux, elle va vivre un étonnant périple aérien, terrien et aquatique à la recherche d’un corps à habiter. Seule sur scène avec pour tout décor la lumière et quelques planches éparpillées, Mélancolie Motte propose d'évoquer avec douceur et musicalité une thématique sans âge à laquelle le jeune public est souvent confronté d'une manière ou d'une autre :  le cycle de la vie.  Un cheminement initiatique sans doute cruel mais surtout libérateur, poétique et drôle …

Présentation L'Enfant qui est né deux fois au Totem - salle conventionnée Art, Enfance, Jeunesse d'Avignon (juillet 2023):

Merci à Etournelles production pour la réalisation de cette vidéo à l'initiative du Totem, avec le soutien de l'Onda - Office national de diffusion artistique dans le cadre du dispositif Ecran vivant.

Teaser L'Enfant qui est né deux fois (juin 2023):

Presse

" La spécialité de Mélancolie Motte est de rendre théâtral ce qui ne l’est normalement pas. (Dans son spectacle "L'Enfant qui est né deux fois"... ), les parents seront par exemple, des planches de bois. Les assembler formera une habitation. Leur présence sera parfois d’être obstacle, parfois appui, parfois décor. Car la manière de les utiliser leur donne statut d’image. Une fois ce postulat admis, tout est possible même l’incroyable, même l’absurde, même l’invraisemblable. (...) Les fameuses planches du début finissent par devenir de véritables partenaires à son seule-en-scène. Elle laisse à chacun la liberté de réfléchir sur, de croire à, de rejeter : des croyances en l’animisme, la métempsycose ou autres mystères spirituels."  Web Théâtre

 

“La magie du théâtre est de pouvoir tout raconter, expliquer, montrer à partir d’un plateau quasi nu. Mélancolie Motte excelle dans cet art par une diction, un phrasé impeccable ainsi qu’une gestuelle savamment pensée. Sa silhouette élancée fait corps avec trois planchettes carrées en bois. L’une, en plexi translucide, réservera quelques belles surprises visuelles.” Journal UFAPEC, Les Parents et l’école N° 118

Intentions

S'inspirant de l'album jeunesse de Gérard Moncomble  L'enfant qui est né deux fois , ce spectacle souhaite évoquer avec poésie, musicalité et douceur une thématique sans âge, intemporelle et à laquelle le jeune public est souvent confronté d'une manière ou d'une autre : le cycle implacable de la vie et de la mort. Et de cette thématique fondamentale jaillissent en filigrane : celui de la perte, de la faim et de la survie, du fil ténu qui nous tient en équilibre entre le vide et le plein pour la quête de sa propre voie. Exprimer aussi, pour les adultes, le trajet et le cycle que la mère et le père doivent traverser pour faire le deuil de la mort d'un enfant.

C'est un spectacle qui se veut rempli de lumière, un spectacle qui chante et qui appelle au voyage, gorgé d’aventures aux rythmes colorés, un spectacle qui tisse le fil ténu de nos existences et qui invitera à des espaces d'autres possibles. C'est un spectacle sur le froid du dehors et le chaud du dedans, un spectacle à écouter, à regarder, à frissonner, à chantonner, à s'émerveiller. Un spectacle qui fait grandir...

La Presse


Dans ce monde imaginaire où la douceur se heurte à la douleur, Nanukuluk entouré de l'amour de ses parents comme de celui sa maman
ourse a trouvé en Mélancolie Motte l'interprète idéale de ses sentiments (…). Dans une mise en scène d'Alberto Garcia Sanchez, prix Molière du
théâtre jeune public 2011, avec la mise en lumière de Jocelyn Asciak, ce conte inspiré du film " L'enfant qui voulait être un ours" a trouvé une
autre intensité. (…) L'histoire de Nanukuluk a transporté la salle dans un autre univers. De chaleureux applaudissements remerciaient
l'artiste pour son talent et sa modestie.
La Charente Libre


Aux rencontres de Huy, une forme singulière et audacieuse, « Nanukuluk, l'enfant sauvage » avec Mélancolie Motte à l'écriture et au jeu d'une
envoûtante création. Seule sur un plateau nu, elle raconte l'histoire d'un enfant eskimo volé par une maman ourse et qui sera, plus tard,
tiraillé entre le monde des hommes et celui de la nature. Avec une présence à faire fondre la banquise, Mélancolie Motte nous captive une
heure durant, ses mots, tout simples, abordant un thème universel : trouver la liberté d'être ce que l'on veut être.
Le Soir (Belgique)


Dans un style très épuré, Mélancolie Motte livre avec une grande maîtrise « Nanukuluk, l'enfant sauvage ». Seule en scène, et sans aucun
artifice mais avec une très belle physicalité, elle nous emmène au Grand Nord pour explorer à travers moult rebondissement le thème de
l'enfant sauvage, de l'enfant racine également – puisqu'enlevé par une ourse, il perd aussi ses parents -, de l'enfant désiré et de la quête
d'identité.
La Libre (Belgique)


Un plateau nu, mais nu de nu d'avant l'apparition de l'appellation « théâtre ». Et là, sans autre appoint qu'une parole, un corps et une
sensibilité, une conteuse-comédienne-actrice vous tient en haleine durant 50mn. L'histoire est conforme à la tradition du conte. Elle contient
des événements liés au merveilleux. Elle met en jeux des personnages parlant qui sont sur le même plan, qu'ils soient humains ou animaux. Elle
se structure en successions d'épisodes dans lesquels il faut franchir des obstacles, être victorieux des opposants et de ses propres peurs. Elle est
chemin d'une initiation à la vie.  Avec cette littérature immémoriale, réécrite avec élégance par Mélancolie Motte, voici en solo, un spectacle véritable dont elle est la voix, le
geste, la parole, le décor, les personnages. La matière, c'est elle qui module son discours, qui invente des attitudes non illustratives. Sa voix
prend les nuances et les tonalités que requièrent le sens des mots, la personnalité des protagonistes. Son corps a la souplesse pour devenir
fluidité, rudesse, douceur, agressivité, repli, élan. Sa générosité ne déborde pas, elle se transmet telle quelle à la salle.
Rue du Théâtre(Belgique)

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